Près d’un mois après avoir annoncé la suspension de son partenariat avec Chinese UTour, le conseil d’administration d’Air Belgium a tenu une assemblée générale avec ses actionnaires le 18 octobre 2018, pour discuter de l’avenir de la compagnie aérienne.
Après seulement dix semaines d’exploitation, Air Belgium a annoncé le 21 septembre 2018 qu’elle allait interrompre ses vols de l’aéroport de Charleroi (BSCA) à l’aéroport international de Hong Kong (HGK) au cours de la prochaine période hivernale.
La réunion du 18 octobre 2018 devait décider si la compagnie aérienne devait continuer à fonctionner ou être dissoute. Il semble que la première solution ait été choisie. La société continuera de fonctionner pour les anciennes compagnies aériennes. Elle a déjà loué certains de ses avions à Air France et à British Airlines au cours de l’été 2018. « La direction a présenté les actions entreprises dans le cadre de son plan d’affaires. Les actionnaires en ont pris note et n’ont vu aucune raison de remettre en cause la continuité de la compagnie », a expliqué Air. Belgique
Entre-temps, Niky Terzakis, PDG d’Air Belgium, a signé le 17 octobre 2018 un accord avec Henan Civil Aviation Development & Investment, le fonds d’investissement de la province du Henan en Chine, qui détient déjà 25% dans la compagnie de fret luxembourgeoise Cargolux. Cela pourrait faire allusion à une route entre l’aéroport de Charleroi (BSCA) et l’aéroport international de Zhengzhou Xinzheng (CGO), un projet qui était déjà en discussion avant le défaut d’UTour.
Après des retards dans l’acquisition d’un AOC, une autorisation tardive des autorités russes de traverser l’espace aérien sibérien et une rupture de contrat avec UTour concernant leurs conditions tarifaires et de charge, Air Belgium a connu un début malheureux. Rien à craindre », a déclaré Terzakis au média belge L’Echo. Les différents contrats ACMI devront maintenir la compagnie en vol assez longtemps pour trouver un autre partenaire chinois, et enfin voler à nouveau sous son propre nom.
La compagnie aérienne exploite une flotte de quatre A340-300 acquis auprès de Finnair entre février 2017 et juin 2018. Après avoir loué l’un de ses appareils à Air France et à British Airlines au cours de l’été 2018, la compagnie aérienne a déclaré qu’elle continuerait à opérer pour d’autres compagnies aériennes traditionnelles.
Près d’un mois après avoir annoncé la suspension de son partenariat avec Chinese UTour, le conseil d’administration d’Air Belgium a tenu une assemblée générale avec ses actionnaires le 18 octobre 2018, pour discuter de l’avenir de la compagnie aérienne.
Après seulement dix semaines d’exploitation, Air Belgium a annoncé le 21 septembre 2018 qu’elle allait interrompre ses vols de l’aéroport de Charleroi (BSCA) à l’aéroport international de Hong Kong (HGK) au cours de la prochaine période hivernale.
La réunion du 18 octobre 2018 devait décider si la compagnie aérienne devait continuer à fonctionner ou être dissoute. Il semble que la première solution ait été choisie. La société continuera de fonctionner pour les anciennes compagnies aériennes. Elle a déjà loué certains de ses avions à Air France et à British Airlines au cours de l’été 2018. « La direction a présenté les actions entreprises dans le cadre de son plan d’affaires. Les actionnaires en ont pris note et n’ont vu aucune raison de remettre en cause la continuité de la compagnie », a expliqué Air. Belgique
Entre-temps, Niky Terzakis, PDG d’Air Belgium, a signé le 17 octobre 2018 un accord avec Henan Civil Aviation Development & Investment, le fonds d’investissement de la province du Henan en Chine, qui détient déjà 25% dans la compagnie de fret luxembourgeoise Cargolux. Cela pourrait faire allusion à une route entre l’aéroport de Charleroi (BSCA) et l’aéroport international de Zhengzhou Xinzheng (CGO), un projet qui était déjà en discussion avant le défaut d’UTour.